Depuis Les Dents de la mer, la plupart des films d’horreur mettant en scène des requins reprennent systématiquement le même schéma.
Pendant que sous la mer profonde Les cachalots et les requins Ces écumeurs géants de l’onde Libres dévorent le fretin Nous autres cloués à la rive Où la bourrasque a rejeté Notre barque un instant rétive Nous pleurons notre liberté.
Mon sang se glaça dans mes veines ! J’avais reconnu les formidables squales qui nous menaçaient. C’était un couple de tintoréas, requins terribles, à la queue énorme, au regard terne et vitreux, qui distillent une matière phosphorescente par des trous percés autour de leur museau.
De temps en temps, un requin paraissait à la surface avec son cortège habituel de rémoras parasites et de poissons-pilotes.
Pas plus que nous ne dramatiserons outre mesure les risques encourus, nous ne céderons à ce snobisme pour aventurier de salon, qui consiste à proclamer haut et fort que les requins ne sont pas dangereux quand on sait les prendre ! Prétendre amadouer dans un élément marin qui n’est pas le nôtre des dévoreurs qui peuvent atteindre 10 m de long, mais dont le cerveau ne dépasse guère la taille d’un orange, relève de la plaisanterie.
Ceux qui n’ont personne dehors sont dans un pétrin abominable s’ils s’endettent avec les requins et ne peuvent rembourser.
Pas question pour Villegas de se lier à un « requin de la finance », comme il surnomme son bailleur de fonds italien.
Ce diffuseur originaire du pays du sourire qui vend du toc est un requin.