Il avait saisi l’arbre à pleins bras, […]. À chaque effort, il se haussait d’une demi-coudée. Dans ses reins se mouvaient des souplesses de lézard ; l’écorce pétillait sous ses orteils nus ; […].
À la pente du roc que la flamme pénètre, Le lézard souple et long s'enivre de sommeil, Et, par instants, saisi d'un frisson de bien-être, Il agite son dos d'émeraude au soleil.