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Esimerkit

• Fallait qu'ils jactent, qu'ils fanfaronnent, qu'ils racontent tout fort leurs petites astuces cheloues, pour faire les malins. Et ça finissait toujours à leur désavantage, ces cons.
• C’est complètement con, ce que tu viens de dire !
• Comment résoudre ce problème ? C’est tout con en fait.
• Ah ! C’est trop con que le 1 janvier, cette année, tombe un dimanche !
• Elle est con, parfois, c’te fille !
• Les bourgeois, c’est comme les cochons : plus ça devient vieux, plus ça devient c…
• Le type qu’ils passent en entrevue est vraiment con. (bête)
• Le temps ne fait rien à l’affaire Quand on est con, on est con.
• Ils sont tous cons dans ce magasin. (plutôt désagréables ou méchants)
• Pourvu que je foutisse un jeune con, que m’importait ?… J’allai nu au lit ; je trouvai des tétons naissants, un conin qui tressaillait. Je dépucelai…
• Un jour, je découvris une inscription toute fraîche sur le mur de l'École, je m'approchai et lus : « Le père Barrault est un con. » Mon cœur battit à se rompre, la stupeur me cloua sur place, j'avais peur. « Con », ça ne pouvait être qu'un de ces « vilains mots » qui grouillaient dans les bas-fonds du vocabulaire et qu'un enfant bien élevé ne rencontre jamais ; court et brutal, il avait l'horrible simplicité des bêtes élémentaires. C'était déjà trop de l'avoir lu : je m'interdis de le prononcer, fût-ce à voix basse. Ce cafard accroché à la muraille, je ne voulais pas qu'il me sautât dans la bouche pour se métamorphoser au fond de ma gorge en un claironnement noir.
• Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les r’connaît.
• Alors, y dort le gros con ? Ben y dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule !
• Eh ben casse-toi alors, pauv’ con !
• Daudet, comme un peu grisé par l’électricité de l’orage, dit : « Oh ! c’est positif : dans les choses du con, j’ai été un scélérat. »
• C’est la plus jolie des trois. Ses cheveux tombent jusqu’aux talons. Elle a des seins et des fesses de statue. Le plus beau con de la famille, c’est le sien ; […].
• C’est une impiété inepte d’avoir fait du mot con un terme bas, une injure. Le mépris de la faiblesse ? Mais nous sommes si heureux qu’elles soient faibles. C’est non seulement le propagateur de la nature, mais le conciliateur, le vrai fond de la vie sociale pour l’homme.
• Ces mégères révolutionnaires, qui pissent à con béant sur les cadavres des gens qu’elles ont égorgés.