Ce rappel à la réalité quotidienne et aux occupations usuelles change momentanément le cours de mes pensées.
Rien entre nous, que des souvenirs assez pitoyables, le tas lugubre des dèches quotidiennes, des privations et des désespérances.
Il entrait en qualité de « fait-diversier » dans un quotidien de Marseille, moyennant quatre-vingt-dix francs par mois.
[…]: le venin distillé par Drumont et ses collaborateurs fut recueilli par le quotidien royaliste, l’Action Française. Les dirigeants du mouvement néo-royaliste ne se contentèrent pas de rééditer, à leur compte, les mensonges et les faux de la Libre Parole.