Ääntäminen
France:
- Tuntematon aksentti:
Haettu sana löytyi näillä lähdekielillä:
Käännöksiä ei löytynyt valitulle kohdekielelle.
Suku: m.
Määritelmät
Adjektiivit
- Qui ne connaît pas ses lettres, qui ne sait ni lire ni écrire.
- Qui n’a pas de connaissances en littérature ou dans d'autres domaines, parce qu'il n'a pas beaucoup fréquenté l'école.
Substantiivit
- Personne qui ne connaît pas ses lettres, qui ne sait ni lire ni écrire.
- (Par extension) (Péjoratif) Se dit par exagération d'une personne qui ne maîtrise pas bien la langue, mais qui prétend quand même donner son avis sur un sujet sérieux, ou simplement scolaire.
Esimerkit
- Et Jacques, ignorant des idées frustes et primitives que se fait de l’islam le peuple illettré, ne se rendait point compte de la portée de ce qu’il venait de faire.
- C’est un homme illettré, il a dû travailler très jeune.
- Cet homme illettré, dont l’orthographe était douteuse, rédigeait lui-même les articles de la Gazette avec une humilité et un fiel qui lui tenaient lieu de talent.
- Le jeune et la personne âgée, l’intellectuel et l’illettré, le riche et le pauvre, tous sont des victimes potentielles de l'imposteur et du charlatan.
- Ils ont eu (naguère) un illettré comme délégué aux relations externes.
- L'illettré étale sa science (fautes de grammaire et d'orthographe comprises).
- Un ramassis d’illettrés présomptueux.
- Tous s'accordaient sur l'urgence de la décentralisation: (…) — et on exaltait les campagnes, l'homme illettré ayant naturellement plus de sens que les autres ! Les haines foisonnaient : haine contre les instituteurs primaires et contre les marchands de vin, contre les classes de philosophie, (…), contre toute indépendance, toute manifestation individuelle.
- Illettré, obtus, il ne lisait jamais, il restait les mains ballantes, les yeux perdus et vagues, entre les appels de ses appareils. Presque toujours assis dans sa guérite, il n'y prenait d'autre distraction que d'y déjeuner le plus longuement possible.
- Si alors Françoise (…) s’excusait de ne pas savoir répondre à mes théories et disait : « Je ne sais pas m’exprimer », je triomphais de cet aveu avec un bon sens ironique et brutal digne du docteur Percepied ; et si elle ajoutait : « Elle était tout de même de la parentèse, il reste toujours le respect qu’on doit à la parentèse », je haussais les épaules et je me disais : « Je suis bien bon de discuter avec une illettrée qui fait des cuirs pareils » (…).
- De cela, les commentateurs érudits tirent l’idée que le Nouveau Testament, pour faire bref, est rédigé par des illettrés, des gens simples, peu versés en hellénismes : au fond, des ignorants. Et ils ajoutent aussitôt que le témoignage desdits illettrés n’en est que d’autant meilleur — comme si, entre parenthèses, tout analphabétisme héroïquement surmonté faisait la valeur d’un témoignage…
Taivutusmuodot