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Esimerkit

• Couper la fièvre, l’arrêter au moyen d’un médicament.
• Un plan qui en coupe un autre.
• Ces deux chemins, ces deux lignes, ces deux plans se coupent.
• Un solide est coupé par un plan, etc.
• Couper le cours d’une rivière, d’un ruisseau.
• Couper une route, un passage.
• On coupa les ponts pour empêcher l’ennemi de passer.
• Couper une voie de chemin de fer.
• Couper le chemin à quelqu’un, Se mettre au-devant de lui sur son chemin pour l’empêcher de passer.
• Couper la parole à quelqu’un, L’interrompre en prenant la parole, ou lui imposer silence.
• Les sanglots, les soupirs, etc., lui coupent la parole, la voix, l’empêchent de parler, de s’exprimer d’une manière suivie.
• Couper la communication, mettre fin à une conversation téléphonique avant qu’elle ne soit achevée.
• Couper le courant.
• Couper le son, interrompre la musique.
• Couper court. Voyez court.
• Couper les vivres à quelqu’un, lui retrancher l’argent, les moyens de subsister, etc.
• La ligne droite qui coupe deux autres lignes droites parallèles se nomme sécante.
• Couper les sons, marquer un silence entre chaque son, dans les expressions de douleur, d’abattement ou d’admiration lorsqu’on joue.
• Couper à travers champs.
• Couper par le plus court chemin, par le plus court, par un sentier.
• Couper son vin, couper du lait.
• Couper le coup.
• Couper son vin avec de l’eau.
• Vous m’avez coupé au petit doigt.
• Elle s’est coupée à la main.
• Il s’est coupé jusqu’à l’os, jusqu’au vif.
• Se couper la joue avec un rasoir.
• Cet enfant se coupe.
• Ce drap, ce velours, etc., se coupe, ce drap, etc., s’use promptement aux endroits où il s’est formé des plis.
• Ce cheval se coupe, il s’entretaille des pieds de devant ou des pieds de derrière.
• Il s’est coupé dans ses réponses.
• On se coupe aisément quand on ne dit pas la vérité.
• Couper un rocher, une maison, etc., en enlever, en démolir une partie.
• Couper en deux, en morceaux. — Couper de la viande, du papier.
• Couper avec un couteau, avec des ciseaux, avec un canif, avec une hache, etc.
• On lui a coupé un bras, une jambe.
• Couper de l’herbe.
• Se faire couper les cheveux.
• Ce morceau d’étoffe a été coupé à la pièce.
• Ce couteau coupe bien, ne coupe pas.
• À couper au couteau, se dit figurément et familièrement de Choses plus épaisses, plus consistantes qu’elles ne devraient l’être.
• C’est un brouillard à couper au couteau.
• La noirceur de la tourbe et des basaltes est coupée par des taches d’un gazon vert et abondant […].
• Couper une armée, la séparer en deux tronçons.
• Ce corps d’armée fut coupé de ses bases.
• Couper les pierres.
• Couper un vêtement, un manteau, une robe.
• Pan coupé. Voyez « pan ».
• D’un coup de rasoir, je lui coupai la tête, et le tronc, d’où un flot de sang s’échappait, gigota quelques secondes sur le parquet.
• On a coupé la montagne en cet endroit, pour que le chemin passât.
• Il faudrait couper cette maison pour qu’elle fût sur l’alignement.
• Couper en talus le bord d’un chemin, d’un fossé.
• Couper une route, un pont.
• Si l’on veut extirper cet abus, il faut couper dans le vif.
• Couper un cheval, un chien, un chat, etc.
• Il coupe à cœur.
• Leurs vaisseaux ne purent couper la ligne ennemie.
• Couper l’équateur, passer d’un hémisphère dans l’autre en traversant l’équateur.
• Une chaîne de montagnes coupe toute cette région.
• Ce pays est coupé par de nombreux canaux, est coupé de grandes routes dans tous les sens.
• Je couperai cette chambre en deux par une cloison.
• Couper l’eau, Fendre l’eau en nageant.
• Couper le courant, Le traverser à la nage ou en bateau.
• Cette route coupe celle d’Orléans.