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Esimerkit
- Un trait physique ou une origine furent à l’origine des cognomens : Calvus (le chauve), Varus (le boîteux), Verrucosus (qui a une verrue), Flaccus (aux oreilles tombantes), Nero (Noir), Caecus (l’aveugle), Strabo (le louche), Sabinus (le Sabin), etc.
- Les Romains avaient trois noms : le prénom (praenomen) qui désignait l’individu ; le nom (nomen) qui distinguait la gens ou race à laquelle l’individu appartenait ; et le cognomen, qui marquait la branche, la famille ; quelquefois à ces trois noms s’en joignait un quatrième : le surnom , tiré d’une action remarquable ou de quelque circonstance extraordinaire : ainsi Publius Cornelius Scipio Africanus.
- Ils [les Romains] prennent souvent deux, trois, et jusqu’à quatre noms : nomen, prænomen, cognomen et agnomen. Le nom, nomen, était, comme il est encore, le nom d’une maison, commun à tous les membres d’une même souche, et se terminait ordinairement en ius. Il dérivait quelquefois du prénom, prænomen […] Le prénom, prænomen, était personnel à celui qui le portait, à peu près comme nos noms de baptême, avec cette différence que, au lieu de varier à l’infini, l’on n’en comptait qu’une trentaine qui, dans le principe, avaient une signification particulière. […] Le surnom, cognomen, servait à indiquer à quelle branche, familia, de la maison, gens, on appartenait. Ce surnom était ordinairement terminé en us, quelquefois en o ou en or, et jamais en ius. […] Le surnom était ordinairement choisi ou imposé par le peuple, ou bien accordé comme un titre d’honneur voté par le Sénat. Aussi devenait-il souvent d’un usage exclusif, au point de faire oublier le nom et le prénom. La seconde espèce de surnom, agnomen, indiquait ordinairement une subdivision d’une famille très-nombreuse, ou une action éclatante, ou une adoption. Dans le 1 cas, il se tirait des mêmes objets que le surnom, cognomen, et s’en distinguait en se mettant après. Dans le 2 cas, il se terminait en icus, anus ou a, comme , , . Dans le 3 cas, il finissait en ianus et s’ajoutait au radical de l’ancien nom ; par exemple, le fils de Paul-Émile, adopté par Scipion, s’appela.