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Ääntäminen

  • ÄäntäminenFrance:
    • IPA: [fam]
Käännös
Substantiivit
1.
2.
несполука {f} (nespoluka)
3.
4.
5.
6.
Muut/tuntemattomat
7.
8.

Suku: f.

Määritelmät

Substantiivit

  1. Être humain de sexe féminin (par opposition à homme), femelle de l’Homo sapiens.
  2. Personne adulte et nubile de sexe féminin (par opposition à fille, fillette et femme-enfant).
  3. Conjointe, épouse, partenaire.
  4. Personne qui revendique ou assume une part de féminité, en particulier :
  5. En tant qu’être délicat, fragile .
  6. En tant que personne exploitée et méprisée .
  7. (fr) (au pluriel) Domestiques féminines . .
  8. Indique que la personne exerçant une profession est une femme, quand cette profession n’a pas de féminin ou que le féminin existe mais n'est pas connu par l’utilisateur ou risque de ne pas être compris.
  9. (Placé avant un nom de profession)
  10. (Placé après un nom de profession)

Esimerkit

  • Je parle des femmes vraiment femmes, douées de cet esprit à triple fond qui semble, à la surface, raisonnable et froid, mais dont les trois compartiments secrets sont remplis : l'un, d'inquiétude féminine toujours agitée; l'autre, de ruse colorée en bonne foi, de cette ruse de dévots, sophistique et redoutable; le dernier enfin, de canaillerie charmante, de tromperie exquise, de délicieuse perfidie, de toutes ces perverses qualités qui poussent au suicide les amants imbécilement crédules, mais ravissent les autres.
  • une femme écrivain, naiskirjailija
  • Un professeur femme.
  • Si seules de rares femmes photographes marquent l'histoire de la photographie au XIX siècle, elles prennent superbement leur revanche à partir des années vingt.
  • Faut-il que j’appelle vos femmes ? demanda le roi.
  • Elle se tourna de l’autre côté en achevant ces paroles, et commanda à sa fille d’appeller ses femmes sans vouloir l’écouter, ni parler davantage.
  • Moi aussi, je crois que j’ai un petit côté femme ! S’il se limite à éplucher les légumes…
  • (Il s’agit d’un homme) Tout penseur complet doit être femme par les côtés délicats du cœur.
  • Quand je la menai à l’autel, j’étais bien convaincu que ma femme l’emportait en beauté sur toutes les femmes belles de la terre.
  • Le moindre défaut des femmes qui se sont abandonnées à faire l’amour, c’est de faire l’amour.
  • Une femme qu’on aime suffit rarement à tous nos besoins et on la trompe avec une femme qu’on n’aime pas.
  • Néanmoins la foi conjugale est sans cesse violée dans les grandes sociétés policées. Il est peu de maris qui soient fidèles à leurs femmes ; il est peu de femmes qui soient fidelles à leurs maris.
  • La femme est en effet le potage de l’homme ; Et quand un homme voit d’autres hommes parfois Qui veulent dans sa soupe aller tremper leurs doigts, Il en montre aussitôt une colère extrême.
  • Telle est la chair des femmes, un abîme où s’engloutir sans recours, et celle des vierges un brasier qui consume l’âme.
  • Mais peu avant sa vingtième année, quand de jeune fille elle devint femme et vit s’effiler sous les seins le premier pli charmant de la maturité qui va naître, il lui vint tout à coup des ambitions.
  • Mes tempes battent ; toute ma chair va à cette femme presque nue et charmante dans le matin et dans le transparent vêtement qui enferme la douce odeur d’elle…
  • Je suis l’ennemi de ce règne de l’homme qui n’est pas encore terminé. Pour moi, la femme est l’avenir de l’homme, au sens où Marx disait que l’homme est l’avenir de l’homme..
  • …une peinture sous verre, fixée sur la façade, représentait une femme appétissante aux yeux noirs qui, frileusement, s’emmitouflait de fourrures.
  • Cependant les femmes de Lima gouvernent les hommes parce qu’elles leur sont bien supérieures en intelligence et en force morale.
  • Les Benjamites furent avertis qu’ils pourroient s’approcher secrètement du lieu de la fête, s’aposter de manière à bien voir les femmes qui s’y trouveroient, et enlever sans résistance celles qu’ils voudroient pour épouses.
  • Ce n’est jamais d’après le masque hypocrite des femmes qu’il faut s'aviser de les juger.
  • Les divers préjugés sur le rapport d'excellence de l'homme à la femme, ont été produits par les coutumes des anciens peuples, les systèmes de politique et les religions qu'ils ont modifiés à leur tour. J'en excepte la religion chrétienne, qui a établi, comme je le dirai plus bas, une supériorité réelle dans l'homme, en conservant néanmoins à la femme les droits de l'égalité. (…) Un proverbe hébreu borne presque toute l'habileté des femmes à leur quenouille, et Sophocle a dit que le silence était leur plus grand ornement. Par un excès opposé, Platon veut qu'elles aient les mêmes occupations que les hommes. Voyez le cinquième dialogue Πολιτειῶν.
  • Elle flotte, elle hésite ; en un mot, elle est femme.

Taivutusmuodot

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