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Esimerkit

• En Angleterre, on ne connaît point la loi salique.
• Ne point connaître de supérieur, de maître.
• Ce cheval connaît la bride, les éperons, etc.
• On dit dans un sens analogue
• Sa charité ne connaît point de bornes.
• Sa rage ne connut plus de frein.
• Il ne connaît point ces vains ménagements.
• Ce peuple ne connaît point les raffinements du luxe.
• Cet usage n’est point connu dans tel pays.
• Je ne connais de maître que vous, que lui, etc.
• Il ne connaît point la crainte. — J’ai connu l’infortune.
• Il n’a jamais connu la haine, la jalousie, etc. — Son cœur allait bientôt connaître l’amour.
• Il ne connaissait plus le sommeil. — Connaître le plaisir, la peur.
• Vous êtes heureux de n’avoir jamais connu le mal de dents, le mal de tête.
• On ne connaît point l’hiver à la Martinique.
• À son âge, en nos campagnes, quel garçon n'a pas connu la femme.
• Je ne connais point cet homme-là, ni ne veux le connaître. — Nous vous connaissons depuis longtemps.
• Il connaît tout le monde. — Je vous le ferai connaître.
• Je ne connais ici d’autre maître que moi, etc.
• Ce juge connaît des matières civiles et criminelles.
• Il en connaît en première instance. — Il en connaît par appel.
• Il ne peut pas connaître de cela.
• Elles admettent que les décisions gouvernementales les plus importantes sont prises pour des motifs qu’on ne peut pas leur exposer, en des formes dont elles n’ont pas à connaître.
• « Connais-toi toi-même » est une des plus belles maximes de la philosophie antique.
• Je me connais, à sa vue il me serait impossible de me contenir.
• Apprenez à mieux vous connaître.
• Un homme sage et qui sait se connaître.
• Il ne se connaît plus.
• Se connaître à quelque chose, en quelque chose : Savoir en bien juger.
• Il se connaît en mérite, en poésie.
• Vous connaissez-vous à cela ?
• Je m’y connais mieux que vous.
• Il ne s’y connaît point du tout.
• Connaître le bien et le mal.
• Il veut que tous soient également soumis à la discipline et il ne connaît à cet égard ni parents ni amis.
• La plupart des animaux connaissent les plantes qui peuvent leur être nuisibles.
• Ce cheval connaît le chemin.
• Ce chien connaît bien son maître.
• Par là vous pouvez connaître combien il est à redouter.
• Il connut alors que le danger devenait pressant.
• Je ne lui connais point de défauts.
• Il connaît son faible.
• Quand il s’agit de ses intérêts, il ne connaît personne.
• Cet enfant ne connaît pas encore ses lettres.
• Faire connaître son opinion.
• Je ne connais rien de plus vil qu’une telle conduite.
• Je ne connais cette personne que de nom, de réputation, de vue.
• En Franche-Comté, les réfugiés trouvèrent une législation à peu près aussi tracassière que celle qu'ils avaient connu en France.
• Durtal le connaissait ce moment délicieux où l’on reprend haleine, encore abasourdi par ce brusque passage d’une bise cinglante à une caresse veloutée d’air.
• Nous sommes si éloignés de connaître tous les agens de la nature, et leurs divers modes d’action ; qu’il ne serait pas philosophique de nier les phénomènes, uniquement parce qu’ils sont inexplicables dans l’état actuel de nos connaissances.
• C'est toi qui t'y connais! You're the expert!
• Il voudrait tout connaître. — Connaître une langue, une science, un art.
• Il affrontait tous les temps, bravait toutes les mers et prétendait que la mer et lui se connaissaient trop, depuis longtemps, « pour se faire des méchancetés ».
• Il connaît les mathématiques, le grec, le latin.
• Connaître à fond une science, une affaire. — Connaître les livres, les pierreries, les tableaux, etc.
• Je ne parle point de ce que je ne connais pas. — Il connaît les ruses du métier, ce que l’expérience nous apprend à connaître.
• Je connais bien cet homme, et je peux compter sur lui.
• Je le connais pour ce qu’il est. — Il a trompé bien du monde, on ne le connaissait pas.
• Cet homme gagne à être connu.— Je le connais incapable de mentir.
• Je connais votre cœur. — Vous me connaissez mal, si vous m’attribuez de telles intentions.
• Que vous connaissez peu les hommes ! — C’est un homme qui connaît bien le monde.
• Le siècle qui posséda ce grand homme ne le connut pas.
• On perdit cet écrivain lorsqu’on commençait enfin à le connaître.
• C’est un homme connu. — Il est connu par son mérite.
• […] : un jeune homme que je connaissais à Evian s’est tué sous la fenêtre d’une de mes amies qui avait été coquette avec lui.
• Connaissez-vous quelqu’un de mes juges ? — Je n’en connais pas un.