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Esimerkit

• Va te faire enculer. : Va-t’en au diable, crève, va te pendre.
• C’est bien vrai ça, moi j’appelle ça être enculée par le destin, mais le destin je l’encule à mon tour.
• Je t’encule chien puant ! Tu vas crever !
• J’en ai marre de tes histoires, arrête de m’enculer.
• Descends ici par ici ! Petit fumier !… Qu’on t’encule une bonne fois pour toutes !…
• En 40, on s’est fait enculer par les Allemands ; en 1953, par les Viets… c’est fini ! Le peuple en a marre des intellectuels comme toi.
• Sept mille. C’est tout ce que tu as enculé ?
• Ne pas se laisser enculer. : Ne pas se laisser faire, ne pas se laisser berner, ne pas être né de la dernière pluie.
• Tu ne risques pas de revoir ton fric, tu t’es bien fait enculer !
• Attention, camarades, on nous encule ou libérons les profs de leur mauvaise conscience.
• Cependant, tandis qu’il m’enculait, je le sodomisais avec mon doigt, ce qui eut l’air de lui faire plaisir.
• Plutôt/autant/je préfère aller me faire enculer. : Jamais, plutôt crever.
• Je veux être enculé. : Que le diable m’emporte.
• Ils se battent sans connaître une guerre, ils se fracassent et se déchirent à petites dents rêvées, et leurs chiens s’enculent le long du comptoir cuivré.
• Je n’ai pas à me gratter pour trouver des sujets. « Ah, la belle-mère qui adore son gendre, se fait enculer par son petit-fils, etc… »
• Monsieur l’curé a des plat’s-bandes Il en cultive les fleurs Il en cul– papa Il en cul– maman Il en cultive les fleurs.
• N’enculez pas de force la femme de chambre avec un manche à balai. Vous pourriez lui faire très mal.
• Vieille morue, rabatteuse d’épouse, je vais me rôtir le balai dans tes fesses. Promis, si je t’attrape, je t’encule. Tu vas contracter une bonne galanterie.
• On comprend que les Romains de la décadence s’enculèrent tous à qui mieux mieux.
• C’est quand je lui demandai de se tourner afin que je l’enculasse et que je vis son regard s’ouvrir sur la muette interrogation que je compris […]