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Esimerkit
- Le 28 avril 1192 (...) dans les ruelles étroites du vieux Tyr, il fut rejoint par deux sicaires (...). Ils lui tendirent un placet qu'il accueillit sans méfiance. Tandis qu'il le lisait, l'un d'eux lui plongea un poignard dans le flanc. (Grousset, Croisades, 1939)
- Je suis proscrit, traqué par les sicaires de la réaction ; me refuserez-vous un asile ? (Sandeau, Sacs, 1851, p. 61)
- Après que la Judée eut ainsi été délivrée de ces voleurs, il s’en éleva d’autres dans Jérusalem, qui exerçaient d’une nouvelle manière une profession si infâme et si criminelle. On les nommait sicaires, et ce n’était pas de nuit, mais en plein jour, et particulièrement dans les fêtes les plus solennelles, qu’ils faisaient sentir les effets de leur fureur. Ils poignardaient au milieu de la presse ceux qu’ils avaient résolu de tuer […]. Le premier qu’ils assassinèrent de la sorte fut Jonathas, grand sacrificateur, et il ne se passait point de jours qu’ils n’en tuassent plusieurs de la même manière.
- Il fut tué par des sicaires que son ennemi avait envoyés à sa poursuite.
- Mais lorsqu’on souleva le malheureux, je vis qu’il était tombé d’une étrange façon : son cou était tordu, son visage regardait en arrière, comme celui des magiciens de la Divine Comédie. Je remontai lentement avec Osborne en écoutant son étrange oraison funèbre : — C’était le plus sympathique sicaire que j’aie jamais vu. La même nuit, j’entendis à nouveau des chevaux galoper.
Taivutusmuodot