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    • IPA: /kɔ.tyʁn/

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Suku: m.

Määritelmät

Substantiivit

  1. Sorte de chaussure montante que portaient les anciens Grecs, entourant le pied et une partie du mollet.
  2. (théâtre) Brodequin de cuir à semelle très épaisse dont les acteurs tragiques se servaient dans la représentation des tragédies pour paraître d’une taille plus élevée, qui couvrait le gras de la jambe, et était lié sous le genou, et faisait paraître la taille plus belle.
  3. Tragédie, symbole du genre tragique, par opposition au brodequin ou à la socque qui est celui du genre comique.
  4. Chaussure montant jusqu’au mollet et lacée ; les lacets de ces souliers.

Esimerkit

  • Les capitaines, portant des cothurnes de bronze, s’étaient placés dans le chemin du milieu, sous un voile de pourpre à franges d’or, qui s’étendait depuis le mur des écuries jusqu’à la première terrasse du palais..
  • C’étoient de grands brodequins liégés, sur lesquels les Acteurs des Tragédies étoient montés comme sur des échasses.
  • Ils se tiennent sur des cothurnes ; c’est une chaussure haute quelquefois de quatre ou cinq pouces.
  • Eschyle invente le cothurne, qui grandit l’homme, et le masque, qui grossit la voix. Ses métaphores sont énormes.
  • Si cette Muse, à qui, Monsieur, vous n’êtes rien, Avait l’honneur de vous connaître, croyez bien Qu’en vous voyant si gros et bête comme une urne, Elle vous flanquerait quelque part son cothurne.
  • Chausser le cothurne, faire des tragédies, prendre un ton élevé et pathétique, dans une occasion, dans un ouvrage qui ne le demande pas.
  • Mais quoi ! je chausse ici le cothurne tragique ?
  • Voilà des vers qui sont dignes du cothurne.
  • Quitte ce langage tragique, et mets bas le cothurne.
  • Quitter le brodequin pour prendre le cothurne, abandonner le théâtre comique pour le théâtre tragique.
  • Justine s’agenouilla, défit les cothurnes des souliers, déchaussa sa maîtresse, qui nonchalamment étendue sur un fauteuil à ressorts, au coin du feu, bâillait en se grattant la tête.
  • Nous sommes partis par une nuit plutôt nocturne Nous quatre Dudule le gros Victor et l’Amnésique Nous avions collé des semelles crêpes à nos cothurnes J’portais les outils la pince-monseigneur l’chalumeau oxhydrique

Taivutusmuodot

Monikkocothurnes

Luokat