Ääntäminen
- IPA: /tʁɑ̃s.syp.stɑ̃.tja.sjɔ̃/
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Esimerkit
- Le péché, le croyant le perçoit tracé à gros traits noirs dans les schémas criards du blasphème, du mensonge, du vice, de la haine, du vol ou du meutre, mais il l’oublie dans le flou mental des transsubstantiations, par exemple.
- Mainte transsubstantiation commença par un penchant et finit lentement religion. Par sa construction culturelle lente et son assimilation progressive à la normale, le péché de transsubstantiation échappe aux schémas bruts des péchés capitaux ; cela le rend peu évident, mais il n’en est que plus redoutable.
- Quand, aux temps védiques, à la question : « Combien y-a-t-il de dieux ? », le rishi Yajnavâlkya répondait : « Trente-trois millions », il s’agissait de trente-trois millions de transsubstantiations.
- Désastreuse conséquense morale de la transsubstantiation : son objet final, pour les dévots, devient critère de vérité. […] « Dieu est-il végétarien ? » (transsubstantiation du végétarisme) ; « Que pense Dieu du sacrifice des rats dans les laboratoires ; proscrit-il les abattoirs ? » (transsubstantiation de la vie animale en équivalence humaine)
- On ne peut que dire et redire que tous les arguments justifiant le chien devenu partenaire social sont discours d’aveugles ou de tarés, et que d’une façon générale toute transsubstantiation amorce de graves dérives et mène au péché.
- Cette audace insupportable avec laquelle vous avez osé imputer à de saintes religieuses et à leurs directeurs de ne pas croire le mystère de la transsubtantiation, ni la présence réelle de Jésus-Christ dans l’eucharistie.
- Le terme de transsubstantiation, aussi naturel pour exprimer un changement de substance que celui de consubstantiel pour exprimer une unité de substance.
- Si on croyait qu’il fût à propos, pour la satisfaction de quelques esprits, d’expliquer comment le sentiment qu’on a de la matière s'accorde avec ce que la foi nous enseigne de la transsubstantiation, on le ferait peut-être d’une manière assez nette et assez distincte, et qui certainement ne choquerait en rien les décisions de l’Église.
- Le terme de transsubstantiation ne s'établit que vers le XII siècle.
- Brenz, au contraire, avait développé jusqu'à son maximum la doctrine de l'ubiquité, dont le but était d'expliquer la présence du corps du Christ dans le pain de la Cène — ce qu'on nomme la consubstantiation — d'une manière qui tend à rapprocher la cène luthérienne de l’eucharistie catholique, laquelle se définit par la transsubstantiation.