[…] et j’entends toujours ce glas, toujours j’entends le curé me dire en pleurant : « Pauvre petit diable ! », et je revois le bedeau et ses tintenelles, les chantres et leurs chapes […]
Et ce mot, obstinément répété sur un ton presque solennel, sembla à Jacques le glas funèbre de sa jeunesse.