Ääntäminen
France:
Haettu sana löytyi näillä lähdekielillä:
| Käännös | Konteksti | Ääninäyte |
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| Adjektiivit |
| 1. | | halventava | US
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| 2. | | | |
| 3. | | | |
| 4. | | | US
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| Substantiivit |
| 5. | | halventava | US
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| 6. | | uskonto | |
Suku: m.
Määritelmät
Adjektiivit
- Qualifie les peuples non gréco-latins.
- (figuré) Qui est sauvage, grossier, ignorant ; qui manque de civilisation.
- Se dit des mots et des tours du langage contraires à l’usage ou à l’analogie.
- Qui est cruel, inhumain.
- Qui manque d’harmonie, de style.
Substantiivit
- Individu n’appartenant pas à la civilisation grecque, puis, après l’essor de l’empire romain, à la sphère culturelle gréco-romaine.
- Individu appartenant aux peuples germaniques qui envahirent l’Empire romain et tout envahisseur en général, lors des grandes migrations entre les et siècles.
- (péjoratif) Individu ou groupe social considéré comme cruel, inhumain, violent.
- (figuré) (péjoratif) Homme non éduqué, trop rustre pour apprécier les beautés de la nature ou de l’art.
Esimerkit
- Une musique barbare.
- un "acte barbare et odieux"
- Il n’y a point de sentiment plus inséparable de notre être que celui de la liberté ; depuis l’homme le plus policé jusqu’au plus barbare, tous en sont pénétrés.
- Les barbares ne sont pas nécessairement des gens courageux : ce qui leur donne de l’audace est la passivité tremblante et soumise de ceux qui sont en face d’eux. Je dirais même que la passivité tremblante et soumise crée des vocations de barbares et constitue une incitation à la barbarie.
- Seulement les barbares dont nous parlons sont au milieu de nous ; nous pouvons les coudoyer en nous aventurant dans les repaires où ils vivent, où ils se rassemblent pour concerter le meurtre, le vol, pour se partager enfin les dépouilles de leurs victimes.
- Être prudemment barbare et exercer la tyrannie conséquemment signifie, selon ce politique abominable, exécuter tout d’un coup toutes les violences et tous les crimes que l’on juge utiles à ses intérêts.
- A l’orgie latine succédèrent les ébats des Barbares, dignes héritiers de ces Romains gorgés de falerne et de sang, épuisés de stupre, sombrés dans les velléités.
- Les Barbares ne créèrent point de sociétés progressives ; ils étaient peu nombreux et presque partout ils se substituèrent simplement aux anciens grands seigneurs, […].
- Le mépris si profond que le Grec avait pour le Barbare, le Yankee l’a pour le travailleur étranger qui ne fait point d’effort pour devenir vraiment américain.
- Pour commencer donc à entrer en matière, quant à la signification de ce mot : Barbares anciennement étaient nommés ceux qui ineptement parlaient grec. Car comme les étrangers venant à Athènes s’efforçaient de parler grec, ils tombaient souvent en cette voix absurde. Depuis, les Grecs transportèrent ce nom aux mœurs brutaux et cruels, appelant toutes nations, hors la Grèce, barbares.
- Au siècle, l’empire romain, miné par les luttes intestines, tombe en déliquescence. Des invasions de peuples barbares désolent et bouleversent aussi bien Rome que les Gaules.
- Un style barbare.
- L’anarchie marocaine, l’application de lois semi-barbares, la corruption du chérif étaient autant d’arguments pouvant justifier une intervention de l’extérieur.
- Un vainqueur qui fait mourir ses ennemis captifs est appelé barbare !
- Ajoutons que la prononciation du grec est au moins aussi incertaine que celle du latin : la prononciation érasmienne est barbare et n’a aucune valeur historique ; et la prononciation moderne est insupportable avec son iotacisme et les équivoques sans nombre qu’il produit.
- Mais cette avalanche de preuves, de plus-qu’indices, ne suffit pas, paraît-il; la plupart (la plus-que-plupart !) des exégètes néotestamentaires en restent à leur « opinion » têtue; ils veulent à tout prix, et malgré l’évidence contraire, que les Évangiles soient grecs — ils préfèrent s’en tenir au grec, à un grec nul, cacophonique, barbare, que de recourir à l’hébreu primitif du corpus. — Cet hébreu leur ferait-il peur ?
- Cette manière de parler est barbare.
- Le gros des troupes était une horde de barbares dans toute la force du terme. C’était de ces figures étranges qui avaient parcouru la Gaule au temps d’Attila et de Chlodowig.
- L'empire romain, centralisé, indiscuté et unique a ébaudi les barbares par une architecture colossale de pierre, donc incorruptible.
Taivutusmuodot