Ääntäminen
France:
Haettu sana löytyi näillä lähdekielillä:
| Käännös | Konteksti | Ääninäyte |
|---|
| Substantiivit |
| 1. | | anatomia |  US
|
Suku: m.
Esimerkit
- TOINETTE : Qui est votre médecin ? ARGAN : Monsieur Purgon. TOINETTE : Cet homme-là n'est point écrit sur mes tablettes entre les grands médecins. De quoi dit-il que vous êtes malade ? ARGAN : Il dit que c’est du foie, et d’autres disent que c’est de la rate. TOINETTE : Ce sont tous des ignorants. C’est du poumon que vous êtes malade. ARGAN : Du poumon ? TOINETTE : Oui. Que sentez-vous ? ARGAN : Je sens de temps en temps des douleurs de tête. TOINETTE : Justement, le poumon. ARGAN : Il me semble parfois que j’ai un voile devant les yeux. TOINETTE : Le poumon. ARGAN : J’ai quelquefois des maux de cœur. TOINETTE : Le poumon. ARGAN : Je sens parfois des lassitudes par tous les membres. TOINETTE : Le poumon. ARGAN : Et quelquefois il me prend des douleurs dans le ventre, comme si c’étaient des coliques. TOINETTE : Le poumon. Vous avez appétit à ce que vous mangez ? ARGAN : Oui, monsieur. TOINETTE : Le poumon. Vous aimez à boire un peu de vin. ARGAN : Oui, monsieur. TOINETTE : Le poumon. Il vous prend un petit sommeil après le repas, et vous êtes bien aise de dormir ? ARGAN : Oui, monsieur. TOINETTE : Le poumon, le poumon, vous dis-je.
- C’est ici seulement que l’homme sent l’air pénétrer facilement dans ses poumons, qu’il vit, qu’il pense.
- J'essayais, en contractant le gosier, d'absorber le moins possible d'eau et de résister à l'asphyxie en retenant le plus longtemps que je pouvais l'air dans mes poumons. Mais je ne pus tenir plus de quelques instants.
- […], tout à coup, comme si le son s'évadait brusquement du tournant de la montagne, on entendit des voix hurlantes, beuglant de tous leurs poumons, aussi faux que possible: […].
- Malgré mon obésité, je marchais allègrement, tout heureux de décrasser mes poumons à cet air limpide, à cet air lustral des belles nuits d’été...
- La Girafe, excitée à fuir, se presse, s’emporte, […] ; mais elle ne soutient point longtemps cet effort, qu’elle ressent comme une fatigue : c’est que ses poumons n’ont pas assez d’ampleur ; défaut que révèle la petitesse du coffre qui les contient.
- Bert portait toujours ce plastron ; c’était sa chimère favorite, créée par une somnambule extra-lucide qui avait déclaré au jeune homme qu’il avait les poumons faibles.
Taivutusmuodot