Haettu sana löytyi näillä lähdekielillä:
Käännöksiä ei löytynyt valitulle kohdekielelle.
- Ramasse on
sanan ramasser taipunut muoto.
- Ramasse on
sanan ramer taipunut muoto.
Ramasse näyttäisi olevan yhdyssana. Kokeile hakea yhdyssanan osia erikseen:
Samankaltaisia sanoja
Löytyneet esimerkit
- diable - En milieu d'après-midi, juste avant la pluie, un ouvrier ramasse le café de consommation à l'aide d'un « diable », une sorte de repoussoir en bois qui a la forme d'une caisse ouverte, qu'il pousse devant lui.
- By mid-afternoon, just before the rain, a worker picks the coffee for consumption with the aid of a "devil", a kind of trolley of wood in the form of an open box, which is pushed before you.
Määritelmät
Substantiivit
- Espèce de traîneau guidé par un homme (marron), et dans lequel les voyageurs descendent des montagnes où il y a de la neige.
Verbit
- Première personne du singulier de l’imparfait du subjonctif du verbe ramer.
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ramasser.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe ramasser.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe ramasser.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe ramasser.
- Deuxième personne du singulier de l'impératif du verbe ramasser.
Esimerkit
- Il descendit le mont Cénis en ramasse, dans une ramasse.
- Traîner dans une ramasse. On sait que, quand les neiges ont comblé les creux et mis sur le même niveau toutes les inégalités de la pente qui va du haut du mont Cenis jusqu'à Lanslebourg, les voyageurs descendent cette pente en cinq ou six minutes sur un traîneau qu’un seul homme assis devant le voyageur dirige avec une hardiesse et une habileeté tout à fait extraordinaire ; cette manière d'aller s'appelle « se faire ramasser ».
- Le général en chef descendit aussi à la ramasse un glacier presque perpendiculaire.
- Ce sont de petites chaises basses en bois, grossières, et fixées sur deux brancards qui, à l'avant, s'élèvent en pointe, à la manière d'un traîneau, pour mieux pouvoir glisser sur la glace, et sont munies de deux bâtons longs de deux bras environ, pas trop gros, que le marron tient à la main, pour conduire, s'appuyant tantôt sur l'un, tantôt sur l'autre, pour retenir ou faire tourner la ramasse. Si le voyageur préfère descendre en toute vitesse, il fait asseoir le marron à ses pieds et laisse aller à son impulsion naturelle la ramasse qui chemine par un sentier enfoncé dont la trace maintient le.traîneau en position.