Ääntäminen
France:
Haettu sana löytyi näillä lähdekielillä:
| Käännös | Konteksti | Ääninäyte |
|---|
| Substantiivit |
| 1. | | | |
| 2. | | | UK
|
| 3. | | slangi | US
|
Suku: m.
Määritelmät
Substantiivit
- Professionnel ou bénévole chargé d’éteindre les incendies à l’aide des lances dont les camions sont équipés.
- (figuré) Personnalité qui apporte son soutien à un responsable ou à une autre personnalité menacée, ou exposée médiatiquement.
- Ouvrier tailleur travaillant en atelier, chargé des retouches. ou du montage des manches, et payé au temps travaillé, par opposition à l’apiéceur, travaillant à domicile et payé à la pièce.
- Le style pompier, un peintre pompier. Style académique conventionnel de certains peintres de la fin du siècle. Les modèles de ces sujets empruntés à l’antiquité portaient souvent des casques luisants, comparés par les critiques moqueurs à ceux des pompiers.
- Celui qui fabrique, qui vend des pompes.
- (argot) Fellation.
Adjektiivit
- Qualifie un artiste, son art ou son style lorsqu’ils sont jugés trop académiques, démodés et conventionnels. SYN. Kitsch.
Esimerkit
- Les pompiers se sont rendus maîtres du feu. Le bal des pompiers a toujours du succès.
- Ce dimanche-là, quelque animation devant l’église me retint dehors après vêpres. Un baptême, sous le porche, avait attroupé des gamins. Sur la place, plusieurs hommes du bourg avaient revêtu leurs vareuses de pompiers ; et, les faisceaux formés, transis et battant la semelle, ils écoutaient Boujardon, le brigadier, s’embrouiller dans la théorie…
- C’était le laboratoire du professeur Cyrus Beck qui venait de sauter. Les pompiers, arrivés presque instantanément, s’efforçaient de circonscrire l’incendie. Derrière, dans la cour d’honneur, s’entendait le bruit sourd et martelé des troupes de la garnison accourant au pas gymnastique. À une heure, on était maître du feu. À une heure et demie, on put commencer à retirer les premiers cadavres.
- Jouer les pompiers après une déclaration malencontreuse, pour sauver les élections.
- Dans la chambre où on la trouvait le plus souvent et dont elle disait : « Oui, je l’aime assez, je m’y tiens beaucoup ; je ne pourrais pas vivre au milieu de choses hostiles et pompier ; c’est ici que je travaille » (sans d’ailleurs préciser si c’était à un tableau, peut-être à un livre, le goût d’en écrire commençait à venir aux femmes qui aiment à faire quelque chose et à ne pas être inutiles), elle était entourée de Saxe […]
- Naguère l’artiste rebuté par la stupidité de la foule se repliait dans sa coquille, œuvrait silencieusement, en garde contre le pompiérisme odieux de son époque, attendant son heure qui sonnait toujours trop tard. Aujourd’hui tout est chahuté. Le pompier, c’est l’artiste probe, le créateur, l’amoureux des formes, l’amant de la lumière, l’homme qui travaillait.
- Il y a mon lit et il y a le divan, dit Hélène. Débrouillez-vous, dit Mercier, moi je ne coucherai avec personne. Un gentil petit pompier, pas trop prolongé, dit Camier, je veux bien, mais pas plus.
Taivutusmuodot