Mes tempes battent ; toute ma chair va à cette femme presque nue et charmante dans le matin et dans le transparent vêtement qui enferme la douce odeur d’elle…
Et Jourgeot, d’un œil hagard, dilaté, le rouge au front, le sang aux tempes, voyait tout cela, un étrange pincement au cœur.
Quand il se dresse face à quelque « vieille écorce », chêne, frêne, ou hêtre, […] Arsène André éprouve une virile volupté. Sa chair se durcit, son col se gonfle, le sang lui afflue aux tempes à coups précipités