Les amateurs de la chasse prétendent que le lièvre est en proie à une agonie plus terrible pendant la poursuite des lévriers que lorsqu’il se débat entre leurs griffes.
Les lièvres de plaines ont les membres postérieurs très-longs, bien plus longs que les lièvres de montagne, or il est notoire que ces derniers sont moins vite forcés par les chiens que les lièvres des plaines.
La carnassière, maintenant bien remplie, pesait à ses épaules le poids de deux forts lièvres.