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Ääntäminen

    • IPA: /sɛp.ti.sism/
Käännös
1.
懐疑主義 (kaigishugi)
2.
懐疑論 (kaigiron)
3.
スケプチシズム (sukepuchishizumu)

Suku: m.

Määritelmät

Substantiivit

  1. (philosophie) Doctrine, sentiment des philosophes dont le dogme principal est de douter, de n’affirmer rien, de tenir leur jugement en suspens sur chaque chose.
  2. Disposition d’esprit des personnes qui affectent de douter de tout.

Esimerkit

  • Trois nouveaux courants, fort opposés, s'imposent : l’épicurisme, le stoïcisme et le scepticisme ; leur point commun est l'attention accordée aux questions éthiques, au point que le savoir lui-même se laisse subordonner à cette visée.
  • Le scepticisme ne convient pas à tout le monde. Il suppose un examen profond et désintéressé : celui qui doute parce qu’il ne connaît pas les raisons de crédibilité n’est qu’un ignorant. Le vrai sceptique a compté et pesé les raisons.
  • Tout le monde étant d'accord pour me désigner nettement sous le nom de scepticisme, d'impiété ou de laïcisme l'esprit dominant du département, tout le monde aussi, on l'a vu, reconnaît son esprit de progrès […].
  • Aux derniers temps de la République romaine et aux premier siècle de l'Empire, le scepticisme religieux s'étend des classes cultivées aux couches profondes du peuple : Cicéron et Juvénal nous l'atteste.
  • Malheureusement, il n'existait aucun attachement philosophique au laïcisme et à ses valeurs de scepticisme, d'expérimentation et de tolérance, si essentielles au pluralisme politique.
  • Pas plus que mon père je ne m'accommode de ce scepticisme médiocre que je juge nuisible à l'intérêt général.
  • À cette époque, Bakounine ne s’enthousiasmait plus pour les choses révolutionnaires russes. Au contraire, dans ses paroles perçait une sorte de scepticisme à l’égard des Russes.

Taivutusmuodot

Monikkoscepticismes

Luokat