[…] : en redéfinissant, au passage, la mission originelle de nos troupes dans ce pays, dans le seul but de satisfaire aux exigences étasuniennes.
Il y a quelques semaines, nous vous relations la douloureuse histoire du passage du confiseur Cadbury, un des fleurons britanniques, sous pavillon étasunien.
Je sais une chose : quand il essaie de se mettre à vivre aussi fort dans les pages d’un livre que sur un trottoir, le français québécois est aussi différent de celui, prétendument international, qu’on parle et écrit à Paris que la langue des écrivains étasuniens l’est de celle de Shakespeare.